Bonjour à tous
La chaleur disparaît
et moi, je reviens ici… Oui, je sais, j’ai abandonné les lieux
durant un long moment. Disons que j’ai eu besoin de m’éloigner
un peu d’ici, de me concentrer sur autre chose. C’est une
meilleure excuse que « j’ai totalement oublié que j’avais
un blog, dites donc… ». Bref, me revoilà, espérant que je
serais tout de même un peu plus présente, parce que je ne suis pas
venue ici depuis le mois d’avril…
Avant de prendre le
blog comme il faut, peut-être parler un peu de ce qu’il a pu se
passer depuis Avril donc. Le dernier journal de bord remonte au 14
avril et je vous disais alors que j’avais fini la saison deux du
Phénix (on va en reparler de ça), que je finissais la première
passe des corrections de Déchéance et que j’allais entamer la
préparation du Projet Lazarus. Pas mal de boulot donc, comme vous le
voyez.
J’en suis où à
présent ?
J’ai fini la
saison deux du Phénix. Comme je n’en étais pas contente, je n’ai
pas vraiment pris le temps de transfèrer ailleurs que sur Evernote.
Je pensais retravailler directement dessus, ce qui me paraissait plus
pratique. Vous comprendrez bientôt que ce fut une erreur.
Dès que j’ai fini
cette saison deux, je me suis mise à la préparation du Projet
Lazarus le 37 avril, et je l’ai écrits. Le premier jet a été
fini le 4 aout. Il fait 277 714 sec pour 49 676 mots. C’est
pas mon plus gros premier jet, il fait à peu près la taille de la
Kharmesi. C’est marrant, j’aurais cru plus. Bon, il manque
deux/trois petites choses dedans, il me semble, surtout sur l’un de
mes personnages. Ça va annoncer pas de réécriture et d’écriture
en plus par la suite. Ce qui est sur, c’est que j’ai dépassé
l’échec de la première tentative, et ça, ça n’a pas de prix.
Comme j’ai fini
l’écriture juste avant mes congés, je me suis dit qu’il était
enfin temps de relire le livre papier de la Kharmesi pendant
celle-ci. J’ai fait une dernière passe dessus et corrigé des
fautes que je n’avais pas forcément vu. Le roman est en ce moment
entre les mains de ma mère, qui le betalit (et finit de repérer les
fautes que je n’aurais pas vu). Bref, il est pour ainsi dire
presque prêt pour une auto-publication. Il ne lui manque qu’une
belle carte et pour moi, beaucoup de confiance.
Du coup, n’ayant
plus de projet en cours, je me suis dit qu’il serait pas mal de
finir le Phénix. Lundi, j’ai donc décidé de relire l’épisode
cinq de la saison deux. J’ouvre Evernote, je clique sur ma fiche.
Et rien. C’est marrant, je vois tout de même l’aperçu des
premiers mots. Pourtant, rien de rien. Ma note a tout simplement
buggée. Et bien entendu, je n’ai pas de sauvegarde.
Nulle part.
Les gros, gros nerfs
lundi donc. Je suis la première à dire qu’il faut faire des
sauvegardes, et voilà. Bref, je ne me décourage pas. De toute
façon, je ne l’aimais pas ce dernier épisode.
A l’heure qu’il
est, j’ai quasi fini de l’écrire à nouveau. D’ici vendredi,
je devrais avoir terminé et donc, le départ pour la saison trois
sera lundi. Pour tout dire, j’ai très très hâte de finir les
trois saisons afin de pouvoir tout reprendre par la suite. Je sais
que j’ai des liens qui ne se font pas et des incohérences entre
les saisons. C’est marrant, parce que je ne me vois pas du tout
publier une saison sans avoir pris le temps de tout relire et d’être
sûre que les trois sont OK.
En parallèle, il y
a la seconde passe des corrections pour la duologie des tempêtes
(oui, je vais faire les deux à la suite de l’autre). J’avoue
qu’eux, j’ai très envie de les voir tout beau, tout joli dans ma
bibliothèque. D’ailleurs, j’ai même envie d’avoir un bel
exemplaire rien que pour moi avec couverture cartonné et tout et
tout. Mais avant ça, faut corriger encore et encore (parce que je ne
vois pas mes fautes du premier coup, faut pas croire).
Sinon, hors
écriture, ma vie n’a plus rien d’un long fleuve tranquille
depuis février. Ma dépression va et vient, telle la mer.
Malheureusement, elle a plus un côté mer des Tempêtes que mer
calme. Ceci explique pourquoi j’ai un peu abandonné le blog depuis
plusieurs mois. L’écriture, la lecture et le dessin m’ont permis
de tenir à flots. Je ne dirais pas que je vais mieux, mais j’arrive
à ne plus voir tout en noir continuellement.
Plus qu’à espérer
maintenant que je n’oublie pas plus souvent le blog.
A bientôt donc !
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