Bonjour,
Chaque année, je me pose la même question. Et chaque année, ou presque, je me décide le premier novembre. Après, je ne vais pas vous mentir, quand arrive le 28 octobre et que je me pose la question, c'est que je connais déjà la réponse.
Cette année, se pose quand même deux "problèmes".
Le premier, c'est que je ne sais pas sur quoi je pourrais écrire. Enfin, plutôt que j'ai trop d'idée et que je ne sais pas quoi choisir. Normalement, sur le NaNo, je me fais plaisir. Je sors un truc style Bit-Lit ou Urban Fantasy, j'y cale de la magie, des loups et j'y vais sans le moindre plan. Je n'aime pas faire le NaNo avec un texte déjà réfléchi. Généralement, je veux tellement que se soit parfait que je rate le NaNo. Or j'ai un esprit de compétition assez développé et je n'aime pas perdre. Donc, j'aurais tendance à me dire que non, je n'écrirais pas pour le #projetfantasy en novembre (alors que Ciarán est déjà en train de me saouler pour que je me lance dans son roman)(coucou les personnages chiants), que le faire pour le Projet Lazarus n'est pas non plus une bonne idée (même si, pareil, j'ai très envie de me relancer dedans). Reste le tome 2 du Château des Ombres (qui sera plus une réécriture qu'autre chose, mais comme je ne suis absolument pas contente de la première version, ça sera comme si je repartais de zéro) ou un texte totalement pas prévu qui va finir par germer avant le premier.
Le second problème est lié à ma santé. Octobre n'aura pas été un bon mois. J'ai à peine fini mon dernier traitement et déjà, le rhume arrive. Je suis encore assez faible, et cela se ressent sur plein de chose, mon sommeil, mon travail, ma vie de famille. Est-ce qu'au vu de mon état de fatigue global, je peux ajouter le stress d'un NaNo et surtout le travail en plus qu'il faut fournir ? Forcément, je pars dans l'idée que novembre sera bien mieux qu'octobre. Je ne peux pas être malade tout le temps, n'est-ce pas.
Voilà donc pour ce qui m'empêcherait de me lancer dans le NaNo pour la neuvième fois (mon premier étant en 2010, déjà). Et puis, il y a tout ce qui me donne envie de me lancer :
J'adore le défi du NaNo. Quant on voit qu'il m'a fallu sept mois pour écrire Vespertine qui ne fait pas encore 50 000, ça a l'air juste fou que j'arrive à gagner le NaNo. Pourtant, j'y suis arrivée 5 fois depuis 2010. Alors ce n'est jamais parfait, loin de là, mais est-ce si grave que ça ? J'aime l'émulation dut au projet que l'on retrouve un peu partout sur les réseaux sociaux. Je sais très bien qu'à force de voir passer des #nanowrimo, je vais finir par craquer. Et puis, je suis faible. Le NaNo, que je le veuille ou non, c'est rendez-vous que j'ai du mal à manquer depuis que j'ai fait mon premier.
Enfin, voilà, cette année, il est donc possible que je me lance dans le NaNo2019. Avec quoi, je ne sais pas encore. La seule chose que je sais, c'est que cette année, l'idée ne sera pas forcément de finir le NaNo à tout prix (et en avance) mais bien d'écrire sans me fatiguer et surtout, de me faire bien plaisir.
Enfin, voilà, cette année, il est donc possible que je me lance dans le NaNo2019. Avec quoi, je ne sais pas encore. La seule chose que je sais, c'est que cette année, l'idée ne sera pas forcément de finir le NaNo à tout prix (et en avance) mais bien d'écrire sans me fatiguer et surtout, de me faire bien plaisir.
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